Publié le 20 Décembre 2017

Mercredi 20 décembre Nordahl Lelandais a été mis en examen pour "assassinat" dans l'affaire de la disparition dans la nuit du 11 au 12 avril d’Arthur Noyer, caporal du 13e bataillon de chasseurs alpins (BCA) de Chambéry, après une soirée en discothèque, a fait savoir le procureur de Chambéry, Thierry Dran.

L’ancien maître-chien de l’armée de terre est déjà mis en examen pour le meurtre de Maëlys De Araujo, 9 ans, disparue le 27 août, à Pont-de-Beauvoisin lors d'un mariage. Il va être reconduit en détention.

Des "indices graves et concordants" sont ressortis pendant les deux jours de garde à vue de Nordahl Lelandais. Le procureur, a annoncé que le crâne du militaire avait été retrouvé par un promeneur en septembre, sur un chemin de randonnée de la commune de Montmélian, au sud-est de Chambéry et identifié grâce à une analyse ADN ces derniers jours. 

La nuit de la disparition du caporal, les deux téléphones utilisés par Nordahl Lelandais ont "borné" aux mêmes endroits que le téléphone d'Arthur Noyer entre 23h48 et 3h41 à Chambéry et dans ses environs, a indiqué le procureur. Les téléphones du suspect ont été rallumés à 7h53 à son domicile de Domessin.

Les investigations sur les supports informatiques de Nordahl Lelandais ont révélé une recherche effectuée sur internet sur la manière de faire disparaître un corps. Une recherche "postérieure à la disparition" du caporal, effectuée le 25 avril.

Les images de vidéoprotection permettait de faire "apparaître la présence d'un véhicule de marque Audi  qui apparaissait à plusieurs reprises et dans les mêmes créneaux horaires et aux mêmes endroits qu'Arthur Noyer", développe le procureur. Les enquêteurs trouvaient plus 2900 propriétaires de ce type sur le seul département Haute-Savoie. "Après l'affaire Maëlys, "un lien pouvait être fait avec le véhicule Audi utilisé par  Nordah Lelandais", explique le procureur. 

Le suspect a contesté durant sa garde à vue "l’ensemble des faits tout en admettant s’être trouvé à Chambéry et Saint-Baldoph" en même temps que M. Arthur Noyer la nuit de sa disparition, selon le procureur

À l’issue de la conférence de presse, le procureur de Chambéry a par ailleurs annoncé que les enquêteurs allaient examiner "toutes les disparitions inquiétantes dans la région" susceptibles d’être imputables à Nordahl Lelandais. Il serait impliqué dans deux autres disparitions non résolues, datant de 2011 et 2012.

Jean-Christophe Morin, disparu en 2011, et Ahmed Hamadou perdu de vue en 2012, ont tous les deux été vus pour la dernière fois à la sortie du festival de musique électronique au fort de Tamié, près d'Albertville (Savoie).

Les parents d'Arthur Noyer ont lu un texte devant le palais de justice après la mise en examen de Nordahl Lelandais et l'annonce du décès de leur fils. "Depuis le 12 avril, nous avons remué ciel et terre pour faire savoir qu'Arthur avait disparu (...) Arthur, mon grand, nous avons toujours gardé espoir de te revoir mais nous savons aujourd'hui (...) une dure et douloureuse réalité (...) Nous savons tous que tu as été un jeune homme aimant, prévenant, courageux. Nous t'aimons tellement fort. Alors, essaie de reposer en paix".

"Le caporal Noyer est un garçon de très grande qualité, aussi d’une grande maturité et son absence, sa disparition, voilà déjà neuf mois, est une perte pour le bataillon", a déclaré sur BFM TV le colonel Emmanuel Devigne, qui commande le 13e BCA (Bataillon des chasseurs alpins). Avant d'ajouter qu'Arthur Noyer était "devenu un élément incontournable de sa section", lui qui préparait le brevet de chef d'équipe de haute montagne.

 

Disparition du militaire Arthur Noyer : Nordahl Lelandais mis en examen pour "assassinat"

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Rédigé par Pierre HAMMADI

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Publié le 17 Décembre 2017

Une nouvelle signature est désormais de mise pour les élus de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Lors de la dernière assemblée plénière du vendredi 15 décembre à Marseille, les élus de la majorité l'ont voté à l'unanimité.

Tous les supports de communication seront signés " région sud, Provence-Alpes-Côte d'Azur " et non plus PACA.

Pour Renaud Muselier (LR), président de l'assemblée régionale "l’acronyme PACA ne veut rien dire, il est dévalorisant. Il faut le remplacer par Région Sud. SUD fonctionne bien à l’oral, comme à l’écrit. C’est une évidence, tout le monde pense au sud quand il pense à notre région et non pas à PACA. SUD induit une image très positive : le bien vivre, la lumière, les paysages de rêve mais aussi un territoire dynamique en terme d’attractivité économique".

Selon le raisonnement de Renaud Muselier, le terme de "Région Sud" associé à "Provence, Alpes, Côte d'Azur", participe "au rayonnement international et à la reconnaissance de notre territoire". 

Dans le texte adopté par l'assemblée régionale, il est expliqué que le nom Provence-Alpes-Côte-d'Azur, "fréquemment réduit à l'acronyme Paca, (...) perd toute signification auprès du grand public régional, national et international".

"C'est une évidence, tout un chacun pense au Sud quand il pense à notre région et non pas à Paca", ajoute le texte,

La marque "Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur" sera déposée auprès de l’Institut national de la propriété industrielle (Inpi).

Cette nouvelle signature sera ainsi apposée pour le lancement du plan climat de la Région, mais aussi pendant la coupe du monde de rugby, les JO, le grand prix de France.

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Rédigé par Pierre HAMMADI

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Publié le 14 Décembre 2017

Laurent Wauquiez a présenté la nouvelle équipe politique des Républicains. Il s'est désormais entouré de 14 nouveaux visages. Une équipe paritaire, rajeunie (43 ans de moyenne d’âge), rassemblée, composée de nouveaux talents issus de toutes les sensibilités des Républicains.
 
"Cette équipe incarne une nouvelle droite, qui se tourne vers l'avenir, qui aura le courage de dire et de faire. Construisons ensemble le futur des Républicains !" a expliqué le président de la région Rhône-Alpes-Auvergne.
 
 
- Première Vice-Présidente, Vice-Présidente déléguée :
Madame Virginie CALMELS, Conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine, 1ère adjointe au Maire de Bordeaux, Vice-Présidente de Bordeaux-Métropole.
 
- 2e Vice-Président :
Monsieur Guillaume PELTIER, Député de Loir-et-Cher, Conseiller Régional du Val de Loire.
 
- 3e Vice-Président :
Monsieur Damien ABAD, Député de l'Ain, Conseiller Départemental de l'Ain.
 
 
- Secrétaire Générale:
Madame Annie GENEVARD, Députée du Doubs, Vice-Présidente de l'Assemblée Nationale, Conseillère Municipale de Morteau.
 
- Secrétaire Général Délégué à la Communication, responsable du porte-parolat :
Monsieur Geoffroy DIDIER, Député Européen, Vice-Président du Conseil Régional d’Ile-de-France.
 
- Secrétaire Général adjoint en charge de la Formation :
Monsieur Julien AUBERT, Député du Vaucluse, Conseiller Régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur.
 
- Secrétaire Générale adjointe en charge des relations avec la Société civile :
Madame Valérie BOYER, Députée des Bouches-du-Rhône, Conseillère Municipale de Marseille.
 
- Secrétaire Général Adjoint en charge des Elus locaux :
Monsieur Mathieu DARNAUD, Sénateur de l'Ardèche, Maire de Guilherand-Granges.
 
- Secrétaire Général Adjoint en charge des Adhésions :
Monsieur Fabien DI FILIPPO, Député de Moselle, Conseiller municipal de Sarrebourg.
 
- Secrétaire Générale Adjointe en charge des Fédérations :
Madame Virginie DUBY-MULLER, Députée de Haute-Savoie, Conseillère Départementale de Haute-Savoie.
 
- Secrétaire Générale Adjointe en charge des relations avec les Parlementaires :
Madame Sophie PRIMAS, Sénatrice des Yvelines, Maire d’Aubergenville.
 
 
Porte-parole :
 
- Madame Lydia GUIROUS, qui avait déjà tenu ce rôle sous la présidence de Nicolas Sarkozy.
- Monsieur Gilles PLATRET, Maire de Châlon-sur-Saône.
- Madame Laurence SAILLIET.
 
Lors du prochain bureau politique du 19 décembre,Laurent Wauquiez  va également proposer à Daniel Fasquelle de rester trésorier du parti.
 
D'autres nomination devraient intervenir courant janvier. Ni Florence Portelli ni Maël de Calan, candidats malheureux face à Laurent Wauquiez dans cette élection interne, ne figurent dans cette première salve de nominations.
La nouvelle équipe de Laurent Wauquiez pour diriger Les Républicains

La nouvelle équipe de Laurent Wauquiez pour diriger Les Républicains

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Rédigé par Pierre HAMMADI

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Publié le 11 Décembre 2017

Fin du suspens dimanche 10 décembre, Laurent Wauquiez est le nouveau président des Républicains dès le premier tour. Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, 42 ans, a recueilli 74,64 % des votes, devant Florence Portelli, avec 16,11 % des votes, et Maël de Calan, 9,25 %.

La participation à ce scrutin est plus élevée que ne le prévoyaient la plupart des pronostics, avec 99.597 militants LR ont participé au scrutin électronique, soit une participation de 42,46%  des 234.556 adhérents des Républicains à jour de cotisation.

Le vote se faisait uniquement par voie électronique, sur ordinateur, tablette ou smartphone.

Contrairement à ce que prévoyaient ses détracteurs, Laurent Wauquiez n’arrive pas à la tête d’une coquille vide. Même si le parti est très affaibli par les défaites et les départs d’élus tentés par le macronisme, il reste près de 100.000 militants actifs.

Le scrutin de dimanche montre aussi au nouveau président tout le chemin qu’il reste à parcourir. La participation a tout de même été très inférieure à celles du congrès de 2012, avec 176.608 votants, ou du scrutin de 2014, avec 155.851 participants. 

Avec ses 16,11 %, Florence Portelli a, indiqué dimanche soir qu’elle ne souhaitait pas participer aux instances, car elle ne sait pas encore où Laurent Wauquiez veut mener le parti. "Un électeur sur deux n'a pas été voté", a souligné Florence Portelli, souhaitant se faire la représentante de la "majorité silencieuse" des adhérents. "Et cette voix-là, je compte l'incarner, comme celle des 16 % qui m'a porté ses suffrages", a-t-elle encore indiqué en soulignant qu'elle se montrerait "très vigilante", sur l'évolution des Républicains.

 

"Le résultat très net de ce soir illustre le décalage entre la ligne de notre parti et les aspirations des électeurs de la droite et du centre", a souligné Maël de Calan, qui espérait franchir la barre des 10 % pour peser sur la ligne politique du parti.

 

Plusieurs ténors des Républicains se sont félicités des résultats : "On nous annonçait une participation de quelques dizaines de milliers, de 50.000 disait-on, nous avons eu à peu près 100.000 votes. C’est un succès", a salué le secrétaire général du parti, Bernard Accoyer.

Pour Bruno Retailleau, président du groupe les Républicains au Sénat, "Avec plus de 100 000 votants, l’élection à la présidence des Républicains est un succès. C’est surtout un désaveu cinglant à tous ceux qui nous ont seriné que la droite française avait coulé corps et biens depuis l’élection d’Emmanuel Macron."

Pour Eric Ciotti, secrétaire général adjoint du parti, "Il n’existe jamais de combat gagné d’avance. En remportant brillamment et dès le premier tour la présidence des Républicains, avec 74,64 % des suffrages, Laurent Wauquiez a démontré toute sa force et sa capacité à rassembler notre famille politique. Cette victoire lui donnera l’élan nécessaire pour reconstruire, en réunissant les diverses sensibilités des Républicains."

Le président du Sénat, Gérard Larcher, a de son côté affirmé qu’"il faut maintenant rassembler toutes les sensibilités et reconstruire autour d’un projet. C’est le défi que nous devons ensemble relever, c’est le travail que devra engager une équipe diverse et renouvelée autour de Laurent Wauquiez".


Les résultats ont été proclamés par Anne Levade, présidente de la Haute autorité, l'organisme indépendant en charge de l'organisation des opérations.

"Ce soir c’est une nouvelle ère qui s’ouvre pour la droite, a déclaré le nouveau président élu des Républicains. Cette soirée est un succès qui va bien au-delà de nos attentes. Ce soir nous pouvons dire : oui, la droite est de retour". Et d’ajouter : "Nous allons tout reconstruire, tout renouveler, avec de nouveaux visages". Une "droite renouvelée" qui "assume ses valeurs" a-t-il poursuivi, avant d’accuser le président Macron d’être trop faible face à la délinquance.

Le nouveau président de LR dévoilera avant Noël les premiers noms de sa direction avant de rendre public l'ensemble de son équipe pour le conseil national, le 27 janvier. Son objectif est de reconstruire la pensée de la droite.

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Rédigé par Pierre HAMMADI

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Publié le 4 Décembre 2017

Le député et porte-parole de LREM, Hervé Berville, s'est trouvé en grande difficulté face à Jean-Jacques Bourdin qui lui posait une simple question sur la prime de Noël. Le député semblait ne jamais en avoir entendu parler.

"La prime de Noël ?", s'étonne le député des Côtes-d'Armor. "Oui, vous savez ce qu'est la prime de Noël ?", lui demande alors Jean-Jacques Bourdin. Après une légère hésitation, Hervé Berville tente une réponse, semblant visiblement croire qu'il s'agit d'une prime destinée aux élus : "Alors moi je n'ai pas de prime de Noël en tant que député."

Le député ne semble pas savoir ce qu'est cette aide exceptionnelle versée par l'État aux foyers modestes.

Le journaliste lui donne alors la définition de la prime de Noël, cette "aide exceptionnelle est destinée à aider les familles les plus fragiles pendant la période des fêtes". Hervé Berville hoche la tête pour faire comprendre qu'il connaît cette prime.

La prime de Noël sera versée à "plus de 2,5 millions de Français", a annoncé ce lundi 4 décembre la ministre de la Santé et des Solidarités, Agnès Buzyn. La prime sera attribuée à "certains bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA), ainsi (qu’aux) bénéficiaires de l’allocation de solidarité spécifique (ASS) et de l’allocation équivalent retraite", informe la ministre dans un communiqué.

La prime de Noël sera versée la semaine précédant Noël, à partir du 18 décembre. Son montant reste inchangé comme en 2015 et en 2016 : 152,45 euros pour une personne seule, 228,67 euros pour un foyer de deux personnes (couple sans enfant, adulte isolé avec un enfant) et 274,41 euros pour trois personnes (couple avec un enfant, adulte isolé avec deux enfants).  À partir de quatre personnes, le montant de la prime est plus élevé (335,39 euros) pour un foyer monoparental que pour un couple (320,14 euros). La prime est complétée de 60,98 euros par enfant supplémentaire.

Le député et porte-parole LREM découvre l'existence de la prime de Noël

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Rédigé par Pierre HAMMADI

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Publié le 1 Décembre 2017

Vidéo publiée sur Facebook et montée à base de photos de Maëlys et de musiques soigneusement choisies par la mère de la petite fille de 9 ans.

"L'enfant n'a toujours pas été retrouvé", a annoncé le procureur de la République de Grenoble lors d'une conférence de presse, jeudi 30 novembre, sur la disparition de la petite Maëlys. 

Le principal suspect, Nordahl Lelandais, a de nouveau été entendu mais il a nié les faits qui lui sont reprochés. Il a toutefois été mis en examen pour "meurtre précédé d'un autre crime" au terme de son audition. Cet ancien militaire de 34 ans était jusqu'à présent mis en examen pour enlèvement et séquestration.

Le procureur Jean-Yves Coquillat a révélé qu'il avait été filmé à 2h47 par une caméra de vidéosurveillance au volant de sa voiture, "une silhouette frêle de petite taille vêtue d'une robe blanche" à ses côtés.

Selon le procureur de la République, la disparition de Maëlys est fixée à 2h45 du matin, le 27 août dernier. Une minute plus tard, Nordahl Lelandais active le mode avion de son téléphone, puis il est filmé dans le cente-ville de Pont-de-Beauvoisin à bord de son véhicule Audi A3. La victime semble être à bord. À 3h24, le suspect est filmé en sens inverse. Seul. À 3h25, il est localisé à la salle des fêtes. À 3h57, il quitte le mariage. Il est filmé à Pont-de-Beauvoisin, se rend à son domicile et réactive le mode avion de son téléphone.

Sur la vidéo, à  l'avant de la berline, sur le siège passager, apparaît une "silhouette frêle de petite taille qui est vêtue d'une robe blanche", selon les mots du procureur de la République.

Les enquêteurs ont acquis la conviction qu'il s'agit de la petite Maëlys qui portait une robe blanche sans manches et au col rond la nuit des faits. "Des cheveux bruns", sont par ailleurs visibles, selon le magistrat. 

Confronté à cet élément jeudi 30 novembre par les trois juges d'instruction en charge de ce dossier, l'homme s'est entêté à nier. Il conteste d'ailleurs sa présence à cet endroit et le fait qu'il puisse s'agir de sa voiture.

Mais plusieurs éléments, comme des autocollants particuliers et des détails au niveau des jantes, leur permettent de penser qu'il s'agit bel et bien de son véhicule. Ils sont corroborés par l'exploitation de la téléphonie du suspect ainsi que les témoignages des invités.

Autres éléments à charge rappelés par le procureur : le nettoyage de fond en comble par Nordhal Lelandais de sa voiture, intervenu le lendemain du mariage, "35 minutes" après sa première audition par les gendarmes, et la demande de résiliation de sa ligne téléphonique, formulée deux jours après les faits. 

Il a été mis en examen dans la foulée pour "homicide". Ce qui signifie que la justice considère désormais Maëlys comme tuée, et plus seulement enlevée.

Le suspect a une explication pour tout, "s'exprime avec beaucoup de sang-froid et maintient ses déclarations", a indiqué le procureur de la République, qui décrit une enquête "extrêmement difficile". Sur place, les recherches se poursuivent. Car, selon les dires de Jean-Yves Coquillat, "cette affaire ne sera jamais complètement résolue tant qu'on n'aura pas retrouvé l'enfant".  

Au micro de RTL, le père du suspect en est convaincu, son fils est innocent. "Je suis sûr et certain de son innocence. Ça ne peut pas être Nordahl", martèle-t-il. "C'est un garçon qui est très gentil, qui aime bien les enfants. Jamais, jamais il ne ferait une chose comme ça", ajoute-t-il. "

Pour l'homme, c'est clair, la justice s'acharne sur son fils. "Il répond avec du sang-froid, il n'est pas intimidé par les juges. Il se défend", conclut-il.

Affaire Maëlys : le suspect mis en examen pour homicide "s'exprime avec beaucoup de sang-froid"Affaire Maëlys : le suspect mis en examen pour homicide "s'exprime avec beaucoup de sang-froid"

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Rédigé par Pierre HAMMADI

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