Publié le 30 Septembre 2016

Au centre Shimon Pérès 1923 - 2016

Au centre Shimon Pérès 1923 - 2016

Shimon Pérès est mort mercredi à 93 ans des suites d’un accident vasculaire cérébral.

Le cercueil de l’ancien président israélien et Prix Nobel de la paix Shimon Pérès a été mis en terre, vendredi 30 septembre au cimetière national du mont Herzl à Jérusalem, dans le carré réservé aux "grands dirigeants de la nation".

Des dizaines de dirigeants du monde entier, parmi lesquels les présidents américain, palestinien, français ou allemand, ont assisté à l’inhumation de M. Pérès, à quelques mètres d’un autre Nobel de la paix, Yitzhak Rabin.

Avec l’arrivée des responsables étrangers, le mont Herzl, sur lequel M. Pérès est enterré, et une grande partie de la ville devraient être largement coupés du monde. Quatre-vingt-dix délégations de 70 pays sont annoncées. Huit mille policiers sont mobilisés.

Le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, se sont longuement serrés la main et ont échangé quelques mots vendredi avant les funérailles.

La venue à Jérusalem de M. Abbas est un événement rare qui ne s’était pas produit depuis des années, le président palestinien devant bénéficier d’un accord spécial des Israéliens dans la Ville sainte. M. Abbas est venu accompagné du numéro deux de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) et du chef des services de sécurité palestiniens.

Benyamin Nétanyahou a salué vendredi en Shimon Pérès "un grand homme" pour Israël et le monde, aux obsèques du Prix Nobel de la paix et ancien président à Jérusalem.

"Il a participé à la résurrection de la nation juive, il a défendu le pays et il a assuré la sécurité de notre peuple pour des générations, et pour cette raison, nous lui devons reconnaissance. Il a fait tout ce qui était en son pouvoir pour atteindre la paix avec nos voisins", a souligné Benyamin Netanyahou au début de son allocution.

Le Premier ministre israélien a terminé en s’adressant au défunt. "Aujourd’hui, je pleure sur toi. Je t’ai aimé, nous tous nous t’aimons. La Paix sera, Shimon. Cher ami, grand dirigeant, tu es au cœur de notre nation et je me permets de dire tu es au cœur des nations".

Autre éloge funèbre attendu, celui de l'ancien président américain Bill Clinton : "Il a débuté sa vie comme le plus brillant des étudiants israéliens, il est devenu son meilleur professeur et a fini par être le grand rêveur de ce pays", a souligné Bill Clinton.

"Il a vécu 93 ans dans un état d’imagination permanent, qui lui a permis de voir l’incroyable potentiel de nous tous, de nous relever malgré nos blessures, nos ressentiments, nos peurs, pour tirer le meilleur d’aujourd’hui et proclamer la promesse de demain", a poursuivi l'ancien président américain.

M. Abbas, qui a salué la mémoire d’un "partenaire pour la paix des braves", a été vivement critiqué par le Hamas islamiste pour sa présence aux funérailles de M. Pérès, un "criminel" pour le Hamas et la rue palestinienne.

Le président de l’Autorité palestinienne est le plus haut représentant arabe présent à ces funérailles. Aucun autre président arabe n’a fait le déplacement.

M. Obama, au début de son éloge funèbre, a souligné la présence notable et exceptionnelle dans l'assistance du président palestinien Mahmoud Abbas : elle est "le rappel que la paix est un chantier inachevé", selon lui.

Le président américain a classé le prix Nobel de la paix Shimon Peres parmi "les géants du XXe siècle".

"À bien des égards, il me rappelait d'autres géants du XXe siècle que j'ai eu l'honneur de rencontrer. Des hommes comme Nelson Mandela, des femmes comme sa majesté la reine Elizabeth", a-t-il déclaré.

Le chef de l’État français, François Hollande, accompagné de l'ancien locataire de l’Élysée, Nicolas Sarkozy. Nelson Mandela, le prince Charles ou encore le roi d’Espagne ont fait le déplacement.

Le jeudi 29 septembre, 30.000 Israéliens, selon les chiffres du Parlement, ont défilé devant la dépouille de Shimon Pérès.

M Pérès était le dernier survivant de la génération des pères fondateurs de l’État d’Israël. Maintes fois ministre, deux fois premier ministre (1984-1986 et 1995-1996) et président (2007-2014), il était devenu dans son pays une personnalité largement consensuelle, considérée comme un sage de la nation.

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Rédigé par Pierre HAMMADI

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Publié le 29 Septembre 2016

La générosité des États Unis qui coûte 300 dollars par an aux contribuables, nuit à Israël et ne fera que le pousser à davantage d’actes d’agression

Par Gidéon Levy, 18 septembre 2016

Barack Obama est un mauvais président pour Israël. Si l’aide militaire qu’il a approuvée pour la décennie à venir est la plus importante jamais attribuée, alors comme président il est, pour Israël, le pire jamais connu. La dernière chose dont Israël a besoin c’est de plus d’armes qui le pousseront à plus d’actes de violence. Mais Obama est le président d’un pays où chaque maison a un petit tronc métallique – comme les boîtes bleu et blanc du Fonds National Juif que nous avons ici – dans lequel chaque citoyen U.S. doit mettre quelques pièces à titre d’assistance et de bienfaisance pour le pauvre Israël dans le besoin, faible comme une frêle feuille.

Trois cents dollars (269 €) pour chaque contribuable américain pour les 10 prochaines années. Non pas pour les besoins sociaux considérables en Amérique, non pas pour aider des pays véritablement dans le besoin – imaginez ce que 38 milliards de dollars (34 milliards d’euros) représenteraient pour l’Afrique – mais pour fournir des armes à une armée qui est l’une des plus puissantes au monde, l’une de celles dont les principaux ennemis sont des filles brandissant des ciseaux ; pour financer une armée qui ne combat aucune autre vraie armée en ce moment ; l’armée d’un pays tellement récalcitrant que peu d’autres peuvent l’égaler, lui qui défie systématiquement les États Unis et la communauté internationale. Et le pire de tout est que ce pays recevra un autre cadeau sans avoir à donner quoi que ce soit en retour. L’argent ne va aller qu’à l’armement, ce qui va pousser ce pays à mener plus d’agressions. C’est l’accord qui a été acté, sans débat sérieux ni en Israël ni aux États Unis.

En Amérique seules quelques personnes demandent pourquoi. Pourquoi faire ? Qu’y aura-t-il en échange ? Et même pas à quel intérêt américain sert l’énorme dépense du contribuable américain. Mais laissons l’Amérique aux Américains. Le seul point en discussion en Israël est de savoir si les Américains peuvent être pressurés pour avoir plus. C’est bien que la somme ait été plafonnée à 38 milliards. La députée à la Knesset Shelly Yacimovich (de l’Union Sioniste) a dit que le Premier Ministre avait déjà dit aux agents de la sécurité qu’ils peuvent « y aller». Plus d’aide ouvrirait la voie à plus de sauvagerie. Une partie de l’argent ira au système de défense mais une autre partie servira à maintenir l’occupation et en particulier à financer des actions violentes et voyantes, à Gaza et au Liban et des exercices d’entraînement inutiles et mégalos contre des dangers imaginaires.

« Le porte-avion américain en Méditerranée » tel que des Américains (Alexander Haig) et des Israéliens (Moshe Ya’alon) aiment à décrire Israël, continuera à lâcher des bombes et des obus à grande distance, parfois sans aucune restriction, au nom des contribuables américains et de leur argent. Est-ce que c’est ce que veut Obama ? C’est le résultat de sa politique. Cette aide généreuse, dont aucun pays sur terre ne reçoit l’équivalent, rend la propagande américaine d’autant plus ridicule qu’Israël continue à défier Washington. Protestation américaine, fureur au Département d’État, colère à la Maison Blanche – des plaisanteries.

Si c’est le porte-avions américain, alors les colonies, la violation du droit international, les crimes, les raids et les guerres que l’Amérique est si prompte à critiquer, sont perpétrés sur son propre porte-avions. Chaque balcon supplémentaire construit dans une colonie est « Made in USA ». Chaque assassinat de femmes et d’enfants à Gaza est « né aux États Unis ». Obama est le parrain de l’occupation et au diable l’hypocrisie et l’autosatisfaction.

Les Israéliens ne devraient pas être reconnaissants envers la générosité américaine : elle gâche leur pays. Pour quoi Israël a-t-il besoin de plus d’armement ? Pourquoi a-t-il besoin de faire la guerre aux Gazaouis qui vont pieds nus et aux jeunes hommes de Cisjordanie ?

Un homme d’État israélien courageux et honnête aurait dit depuis longtemps : non merci. Cet argent n’est pas bon pour nous. Même sans ça, l’armée israélienne est trop importante pour ses besoins. Mais le rituel se poursuit. L’Amérique paie et Israël occupe et bombarde, comme s’il n’y avait pas d’autre moyen. C’est la victoire à la Pyrrhus d’Israël. C’est aussi la victoire personnelle du Premier Ministre Benjamin Netanyahou : toutes les accusations de liens détruits avec les États Unis sont absolument sans fondement. Les relations n’ont jamais été meilleures – regardez seulement les chiffres.

Rien n’a été détruit dans la relation et c’est une honte. Avec ce genre d’amis, on n’a pratiquement pas besoin d’ennemis. Israël peut continuer à faire ses affaires, il a un chèque en blanc et l’Amérique paie, sans conditions, pour au moins dix années de plus. Y a-t-il pire nouvelle pour Israël ?

Traduction : SF pour l’Agence Media Palestine

Source: Haaretz

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Rédigé par Pierre HAMMADI

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Publié le 27 Septembre 2016

Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire, François Fillon, Alain Juppé, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-François Copé et Jean-Frédéric Poisson

Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire, François Fillon, Alain Juppé, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-François Copé et Jean-Frédéric Poisson

La campagne pour l’Elysée a débuté mercredi 21 septembre avec l’officialisation des candidatures à la primaire organisée par Les Républicains (LR) les 20 et 27 novembre 2016.

Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire, François Fillon, Alain Juppé, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-François Copé et Jean-Frédéric Poisson, sont les candidats à la primaire de la droite et du centre.

La participation au scrutin est ouverte à tous les Français inscrits sur les listes électorales.

- Il suffit d’être inscrit sur la liste électorale au 31 décembre 2015 (ou d’avoir 18 ans au moment de l’élection présidentielle 2017).

- De verser 2€ par tour de scrutin pour participation aux frais d'organisation.

- De signer une charte de l'alternance : "Je partage les valeurs républicaines de la droite et du centre et je m’engage pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France".

- Le vote par procuration est interdit.

10.228 bureaux de vote seront installés en France et outre-mer (écoles, mairies…), ouverts de 8h00 à 19h00 les 20 et 27 novembre 2016. La liste des bureaux sera publiée le 30 septembre.

Les Français résidant à l’étranger voteront par internet ou au moyen de bulletins papier dans des conditions qui leur seront bientôt présentées.

Le site Internet de la primaire communiquera à chaque électeur, en fonction de son adresse, le bureau de vote dans lequel il devra se rendre le jour du vote.

La haute autorité recrute actuellement 60.000 volontaires qui seront chargés de surveiller le bon déroulement du scrutin.

Trois débats seront organisés en vue du premier tour : le premier, le 13 octobre (TF1, RTL, Le Figaro). Le deuxième rendez-vous le 3 novembre (i-Télé, BFMTV, RMC) et le troisième, prévu le 17 novembre (France Télévisions, Europe 1 et la presse régionale).

Les deux vainqueurs du premier tour de la primaire s'affronteront le 24 novembre dans une émission spéciale diffusée par TF1 et France 2.

Le vote est strictement confidentiel et anonyme et aucun fichier ne sera constitué hors du contrôle de la CNIL. Les listes électorales seront détruites sous le contrôle d’huissiers de justice et aucune trace ne sera conservée des participants à la primaire.

Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire, François Fillon, Alain Juppé, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-François Copé et Jean-Frédéric Poisson

Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire, François Fillon, Alain Juppé, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-François Copé et Jean-Frédéric Poisson

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Rédigé par Pierre HAMMADI

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Publié le 9 Septembre 2016

Bonbonnes de gaz : Interpellation à Boussy-Saint-Antoine de trois femmes radicalisées et fanatisées

Trois femmes ont été interpellées à Boussy-Saint-Antoine (Essonne), dans le cadre d'une opération antiterroriste, jeudi 8 septembre.

"Ces jeunes femmes âgées de 39, 23 et 19 ans, radicalisées, fanatisées, préparaient vraisemblablement de nouvelles actions violentes et imminentes", a déclaré le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve.

Parmi elles se trouvait la fille du propriétaire du véhicule. Âgée de 19 ans, elle était connue des services de renseignement pour des velléités de départ en Syrie.

Lors des interpellations, elle a blessé un policier avec un couteau à l'épaule. Les policiers ont répliqué. La jeune femme a elle été touchée par balle à la cuisse et à la cheville.

Cette jeune femme, considérée comme la principale suspecte, elle avait prêté allégeance à l'État islamique selon une source proche de l'enquête.

Les policiers ont retrouvé sur elle une lettre en ce sens, a affirmé RTL, qui précise que les trois femmes voulaient venger la mort du porte-parole et numéro deux de l'État islamique, Abou Mohammed al-Adnani, désigné comme "le ministre des attentats" de l'EI, tué en Syrie par une frappe de la coalition fin août.

Le ministre, qui a salué "l'action exemplaire et la très belle performance des services d'enquête et de renseignements" dans ce qui a été une "véritable course contre la montre", a précisé que les jours du policier, hospitalisé, n'étaient pas en danger.

Le propriétaire du véhicule, connu pour des faits anciens de prosélytisme islamiste, avait été relâché mardi 7 septembre à l'issue de sa garde à vue.

Deux couples originaires du Loiret ont été interpellés et sont en garde à vue, l'un d'entre eux était "bien connu" des services de renseignement pour son appartenance à la mouvance islamiste radicale.

Le premier couple composé d'un homme de 34 ans et d'une femme de 29 ans, a été interpellé, mardi 6 septembre, sur une aire d'autoroute près d'Orange (Vaucluse) avec ses trois enfants.

L'autre couple a été arrêté mercredi 7 septembre à son domicile, à Châlette-sur-Loing, dans le département du Loiret. L'homme et la femme sont tous deux âgés de 26 ans.

"Il s'agit de deux frères et de leurs compagnes", selon une source proche de l'enquête.

Après les mitraillages, les attaques au couteau ou à la veste explosive, les services spécialisés craignent "une nouvelle forme d'attaque" avec "le dépôt d'engins explosifs" dans des lieux rassemblant une foule importante, a admis le patron de la DGSI Patrick Calvar le 10 mai devant la commission de la Défense nationale et des Forces armées de l'Assemblée nationale.

Devant la commission d'enquête parlementaire sur les attentats, il s'était aussi dit "persuadé" que les djihadistes "monteront en puissance" en passant au stade "des véhicules piégés et des engins explosifs".

Selon BFMTV, les trois femmes interpellées avaient pour projet d'attaquer la Gare de Lyon à Paris, celle de Boussy Saint-Antoine où elles ont été interpellées, ainsi que des policiers.

"La France est confrontée à une menace inédite aux ressorts protéiformes. Recrutés, endoctrinés par des terroristes en zone irako-syrienne, des individus aux profils très différents sont conditionnés pour passer à l’acte sur notre sol." a insisté jeudi 8 septembre Bernard Cazeneuve.

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Publié le 4 Septembre 2016

Mère Teresa est déclarée sainte par le pape FrançoisMère Teresa est déclarée sainte par le pape François

Le pape a procédé ce matin à la canonisation de Mère Teresa, lauréate du prix Nobel de la paix en 1979 qui a consacré sa vie au service des plus pauvres et des plus démunis en Inde.

"Nous déclarons la bienheureuse Teresa de Calcutta sainte et nous l'inscrivons parmi les saints, en décrétant qu'elle soit vénérée en tant que telle par toute l'Église", a déclaré le pape François, en prononçant la "formule de canonisation" rituelle.

La canonisation s'est déroulée en présence d'une douzaine de chefs d'État et quelque 100.000 personnes parmi elles de nombreux indiens. La religieuse au sari blanc bordé de bleu "mérite" d'être proclamée sainte, a souligné samedi 3 septembre le pape François lors d'une catéchèse sur la place Saint-Pierre.

Elle était "une infatigable bienfaitrice de l'humanité", avait lancé Jean-Paul II lors de sa béatification en 2003, cérémonie qui avait alors attiré 300.000 fidèles à Rome.

Le pape François, voit dans Mère Teresa une incarnation de son idéal d'une "Église pauvre pour les pauvres".

Une canonisation constitue la déclaration officielle qu'une personne décédée est au paradis. Pour cela, le futur saint doit avoir obtenu deux miracles, l'un pour la béatification, l'autre pour la canonisation, signes de sa proximité avec Dieu.

Un Brésilien, dont le témoignage a ouvert la voie à la canonisation de mère Teresa, a raconté vendredi devant la presse conviée au Vatican comment il s'était, selon lui, brusquement remis de tumeurs au cerveau en 2008 grâce aux prières répétées adressées à la religieuse.

L'autre miracle attribué à la religieuse est la guérison d'une Indienne atteinte d'un cancer de l'estomac, en rémission en 1998, un an après la mort de mère Teresa.

Mère Teresa, Agnès Gonxha Bojaxhiu est née en 1910 dans une famille albanaise à Skopje. À 18 ans, elle entre chez les religieuses de Notre-Dame-de-Lorette et prend le nom de Thérèse, en référence à sainte Thérèse de Lisieux (1873-1897). Elle arrive à Calcutta (Inde) en 1929 où, religieuse, elle travaille dans une école comme enseignante.

En 1950, elle avait fondé en Inde les Missionnaires de la Charité, qui comptent aujourd'hui 5.000 religieuses consacrant leur vie aux plus pauvres et vivant dans une grande austérité.

En 1979, mère Teresa a reçu le prix Nobel de la paix. Elle décède à Calcuta le 5 septembre 1997 à l'âge de 87 ans dans sa congrégation.

Son actuelle supérieure générale, mère Mary Prema Pierick, a rappelé vendredi au Vatican que l'objectif de mère Teresa n'était pas de "supprimer la misère" à Calcutta et dans le monde, mais "d'apporter de l'amour à des individus qui souffrent".

Dotée d'une notoriété mondiale, la religieuse a été parfois critiquée pour n'avoir pas prodigué des soins palliatifs aux malades en phase terminale, ni usé de son influence auprès des décideurs pour s'attaquer aux racines de la pauvreté.

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Rédigé par Pierre HAMMADI

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Publié le 4 Septembre 2016

Lors de la diffusion par NBC TV du spectacle Elvis Presley " 'Comeback spécial 1968", le monde a découvert l'artiste le plus important dans l'histoire du rock fracassant toutes les attentes.

Elvis devient l'un des meilleurs chanteurs de tous les temps.

Elvis Presley : '68 Comeback special Elvis Presley : '68 Comeback special

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Rédigé par Pierre HAMMADI

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