Publié le 23 Janvier 2016

La SNCF va systématiquement facturer tout échange ou annulation de billets de TGV

 Il vous en coûtera minimum 5 euros. Voire même 15 euros si vous attendez la veille ou le jour du départ pour le faire. Jusqu'à présent, échanger ou annuler son billet de train était gratuit jusqu'à la veille du départ (hors Prem's).

"Cela nous permettra de vendre toutes les places jusqu'au dernier moment", justifie dans Le Parisien Rachel Picard, directrice générale de SNCF Voyages. Elle affirme que le taux d'occupation des TGV est de 65% en moyenne et que "seuls 17% des clients échangent ou se font rembourser les billets".

Seuls les détenteurs de cartes de réduction, comme les cartes séniors ou jeunes, ou ceux qui achètent un billet "pro", seront quelque peu épargnés. Ces voyageurs devront tout de même payer 5 euros s'ils décident finalement de ne pas prendre leur train le jour de leur voyage.  

les premières réactions de voyageurs sur les réseaux sociaux sont loin d'être positives. Certains suggérant notamment de se faire rembourser en échange les minutes de retard par la SNCF.

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Rédigé par PIERRE HAMMADI

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Publié le 23 Janvier 2016

La SNCF va systématiquement facturer tout échange ou annulation de billets de TGV. Il vous en coûtera minimum 5 euros. Voire même 15 euros si vous attendez la veille ou le jour du départ pour le faire. Jusqu'à présent, échanger ou annuler son billet de train était gratuit jusqu'à la veille du départ (hors Prem's).

"Cela nous permettra de vendre toutes les places jusqu'au dernier moment", justifie dans Le Parisien Rachel Picard, directrice générale de SNCF Voyages. Elle affirme que le taux d'occupation des TGV est de 65% en moyenne et que "seuls 17% des clients échangent ou se font rembourser les billets".

Seuls les détenteurs de cartes de réduction, comme les cartes séniors ou jeunes, ou ceux qui achètent un billet "pro", seront quelque peu épargnés. Ces voyageurs devront tout de même payer 5 euros s'ils décident finalement de ne pas prendre leur train le jour de leur voyage.

les premières réactions de voyageurs sur les réseaux sociaux sont loin d'être positives. Certains suggérant notamment de se faire rembourser en échange les minutes de retard par la SNCF.

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Publié le 23 Janvier 2016

Emmanuel Macron et un ex-salarié de Goodyear, se sont écharpés en direct

Mercredi 20 janvier 2016 sur RMC, Mickael Wamen, ex-salarié Goodyear et syndicaliste CGT, et Emmanuel Macron, ministre de l'Economie se sont écharpés en direct à propos notamment d'un éventuel plafonnement des indemnités prud'homales.

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Rédigé par PIERRE HAMMADI

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Publié le 23 Janvier 2016

Mercredi 20 janvier 2016 sur RMC, Mickael Wamen, ex-salarié Goodyear et syndicaliste CGT, et Emmanuel Macron, ministre de l'Economie se sont écharpés en direct à propos notamment d'un éventuel plafonnement des indemnités prud'homales.

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Publié le 23 Janvier 2016

Tiers payant généralisé retoqué : Les patients devront avancer la part payée par la mutuelle.

C'était l'une des mesures-phare de la loi Santé mais également la plus critiquée par les médecins. La généralisation du tiers payant a été partiellement retoquée jeudi par le Conseil constitutionnel.

Concrètement, cette absence d'avance de frais pour les patients lors d'une consultation deviendra un droit pour tous les Français au 30 novembre 2017. Mais uniquement "pour la partie remboursée par la sécurité sociale" et non pas, comme prévu, pour la totalité des frais engagés, explique le ministère de la Santé. Les patients devront donc avancer la part payée par la mutuelle.

Dans les faits, sur une consultation à 23 euros (tarif conventionné chez le médecin traitant), 15,10 € sont remboursés par l'Assurance maladie et 6,90 € par la mutuelle. Ce sont donc ces 6,90 euros que le patient devra avancer.
Pour une consultation de spécialiste, chez un gynécologue ou un ophtalmologue en secteur 1, à 28 euros : il s'agira de 9,4 euros.
Chez un psychiatre en secteur 1, dont la consultation est 39,70 euros, 12,91 euros sont concernés.  

Certains, à partir du 1er juillet, n'auront plus à régler directement leur consultation chez le médecin. Il s'agit des patients pris en charge à 100% par l'Assurance maladie :
- les femmes enceintes et ceux souffrant d'une maladie de longue durée comme le diabète, l'insuffisance cardiaque, les maladies d'Alzheimer ou de Parkinson ou encore la sclérose en plaques.  

Déjà pratiqué en pharmacie, ce tiers payant est octroyé actuellement seulement aux bénéficiaires de la couverture maladie universelle (CMU-C) et de l'Aide médicale d'Etat (l'AME).

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Rédigé par PIERRE HAMMADI

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Publié le 23 Janvier 2016

C'était l'une des mesures-phare de la loi Santé mais également la plus critiquée par les médecins. La généralisation du tiers payant a été partiellement retoquée jeudi par le Conseil constitutionnel.

Concrètement, cette absence d'avance de frais pour les patients lors d'une consultation deviendra un droit pour tous les Français au 30 novembre 2017. Mais uniquement "pour la partie remboursée par la sécurité sociale" et non pas, comme prévu, pour la totalité des frais engagés, explique le ministère de la Santé. Les patients devront donc avancer la part payée par la mutuelle.

Dans les faits, sur une consultation à 23 euros (tarif conventionné chez le médecin traitant), 15,10 € sont remboursés par l'Assurance maladie et 6,90 € par la mutuelle. Ce sont donc ces 6,90 euros que le patient devra avancer.
Pour une consultation de spécialiste, chez un gynécologue ou un ophtalmologue en secteur 1, à 28 euros : il s'agira de 9,4 euros.
Chez un psychiatre en secteur 1, dont la consultation est 39,70 euros, 12,91 euros sont concernés.

Certains, à partir du 1er juillet, n'auront plus à régler directement leur consultation chez le médecin. Il s'agit des patients pris en charge à 100% par l'Assurance maladie :
- les femmes enceintes et ceux souffrant d'une maladie de longue durée comme le diabète, l'insuffisance cardiaque, les maladies d'Alzheimer ou de Parkinson ou encore la sclérose en plaques.

Déjà pratiqué en pharmacie, ce tiers payant est octroyé actuellement seulement aux bénéficiaires de la couverture maladie universelle (CMU-C) et de l'Aide médicale d'Etat (l'AME).

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Publié le 22 Janvier 2016

Nicolas Sarkozy : 260 pages pour renouer avec les Français 

Dans La France pour la vie, son livre de 260 pages écrit dans le plus grand secret et tiré à 120.000 exemplaires, l'ancien chef de l'État dresse le bilan sans complaisance de son quinquennat et trace des perspectives pour l'avenir.

Sur la remise en cause du "mariage pour tous", l'ancien Président a changé d'avis et le concède : "je l'assume, j'ai évolué". Pour lui il n'est "pas question de démarier les mariés ou de revenir en arrière sur le principe du mariage homosexuel. J'avais pensé que les ambiguïtés de la loi Taubira imposeraient une nouvelle rédaction. A la réflexion, je crains que compte tenu de l'état de tension et de division de la société française (...) le remède soit pire que le mal. Je ne souhaite donc pas qu'on légifère à nouveau".  

Nicolas Sarkozy fait son mea culpa et cette fois-ci n’y va pas par quatre chemins. Il confie n’avoir pas mesuré "la portée symbolique" du Fouquet’s. Le séjour sur le yacht de Bolloré quelques jours après son élection : "une erreur de jugement incontestable. Je me demande encore comment j’ai pu commettre un tel impair". Le "casse-toi pauv’con" du salon de l’agriculture en 2008 : "une bêtise que je regrette encore aujourd’hui. J’ai abaissé la fonction présidentielle. Avoir du caractère n’autorise pas tout."

Nicolas Sarkozy répète à plusieurs reprises qu’il n’a "ni amertume, ni détestation" à l’égard de son successeur. Pourtant il le cible dès le prologue : "Qui pourra décemment prétendre que la sécurité des Français est entre de bonnes mains?" Puis tout au long son livre : "Il sait dissimuler, masquer, parfois même travestir la vérité (…).Il n'aime ni décider, ni trancher. Son monde est celui de l'ambiguïté sympathique."

Nicolas Sarkozy n’épargne pas son ancien Premier ministre et désormais rival. "Si François Fillon avait alors été si malheureux, pourquoi aurait-il accepté de si bon gré que je le renomme à trois reprises ? Et surtout pourquoi aurait-il tant fait pour que je le maintienne à son poste ?".  Il concède néanmoins que si c’était à refaire, il choisirait "le même Premier ministre", estimant qu’il a rempli son rôle "avec sérieux et responsabilité".

Avec Alain Juppé  il évoque des "relations cordiales" et promet que la droite ne revivra pas les "cauchemars que furent les affrontements Giscard-Chirac ou Chirac-Balladur".

Sur son bilan l’ancien chef de l’Etat regrette de ne pas être allé plus loin sur la baisse des charges, les 35 heures et préconise un "contre choc fiscal" dès 2017. Il concède qu’il revient pour la France mais aussi parce que ça lui manquait et termine : "Ironie de l’histoire : on n’est jamais meilleur qu’au moment de quitter le pouvoir".

Nicolas Sarkozy se dit serein. Il affirme que ce livre n’est pas une candidature à la présidentielle.

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Publié le 22 Janvier 2016

Dans La France pour la vie, son livre de 260 pages écrit dans le plus grand secret et tiré à 120.000 exemplaires, l'ancien chef de l'État dresse le bilan sans complaisance de son quinquennat et trace des perspectives pour l'avenir.

Sur la remise en cause du "mariage pour tous", l'ancien Président a changé d'avis et le concède : "je l'assume, j'ai évolué". Pour lui il n'est "pas question de démarier les mariés ou de revenir en arrière sur le principe du mariage homosexuel. J'avais pensé que les ambiguïtés de la loi Taubira imposeraient une nouvelle rédaction. A la réflexion, je crains que compte tenu de l'état de tension et de division de la société française (...) le remède soit pire que le mal. Je ne souhaite donc pas qu'on légifère à nouveau".

Nicolas Sarkozy fait son mea culpa et cette fois-ci n’y va pas par quatre chemins. Il confie n’avoir pas mesuré "la portée symbolique" du Fouquet’s. Le séjour sur le yacht de Bolloré quelques jours après son élection : "une erreur de jugement incontestable. Je me demande encore comment j’ai pu commettre un tel impair". Le "casse-toi pauv’con" du salon de l’agriculture en 2008 : "une bêtise que je regrette encore aujourd’hui. J’ai abaissé la fonction présidentielle. Avoir du caractère n’autorise pas tout."

Nicolas Sarkozy répète à plusieurs reprises qu’il n’a "ni amertume, ni détestation" à l’égard de son successeur. Pourtant il le cible dès le prologue : "Qui pourra décemment prétendre que la sécurité des Français est entre de bonnes mains?" Puis tout au long son livre : "Il sait dissimuler, masquer, parfois même travestir la vérité (…).Il n'aime ni décider, ni trancher. Son monde est celui de l'ambiguïté sympathique."

Nicolas Sarkozy n’épargne pas son ancien Premier ministre et désormais rival. "Si François Fillon avait alors été si malheureux, pourquoi aurait-il accepté de si bon gré que je le renomme à trois reprises ? Et surtout pourquoi aurait-il tant fait pour que je le maintienne à son poste ?". Il concède néanmoins que si c’était à refaire, il choisirait "le même Premier ministre", estimant qu’il a rempli son rôle "avec sérieux et responsabilité".

Avec Alain Juppé il évoque des "relations cordiales" et promet que la droite ne revivra pas les "cauchemars que furent les affrontements Giscard-Chirac ou Chirac-Balladur".

Sur son bilan l’ancien chef de l’Etat regrette de ne pas être allé plus loin sur la baisse des charges, les 35 heures et préconise un "contre choc fiscal" dès 2017. Il concède qu’il revient pour la France mais aussi parce que ça lui manquait et termine : "Ironie de l’histoire : on n’est jamais meilleur qu’au moment de quitter le pouvoir".

Nicolas Sarkozy se dit serein. Il affirme que ce livre n’est pas une candidature à la présidentielle.

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Publié le 22 Janvier 2016

Le préfet Alain Gardère mis en examen pour corruption

Le préfet Alain Gardère, qui avait été placé en garde à vue mardi 19 janvier, a été mis en examen notamment pour corruption passive. Il a en outre été interdit de tout emploi public.

Cet ancien "grand flic" de 59 ans, qui fut membre du cabinet de Claude Guéant à l'Intérieur, a été mis en examen notamment pour abus d'autorité, prise illégale d'intérêt par personne exerçant une fonction publique, corruption passive par agent public, recel d'abus de biens sociaux et détournement de fonds publics, a détaillé la source. 

Placé sous contrôle judiciaire, il s'est vu interdire l'exercice de tout emploi public, et ne pourra pas exercer d'activité dans les secteurs de la sécurité ou des aéroports. Il a aussi dû s'acquitter d'une caution de 150.000 euros.

Alain Gardère avait été placé en garde à vue mardi dans les locaux de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), "la police des polices", dans le cadre d'une information judiciaire ouverte le 23 septembre, notamment pour abus de biens sociaux, trafic d'influence, corruption et prise illégale d'intérêts. 

Il avait aussitôt été suspendu de ses fonctions à la tête du Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps), l'instance chargée notamment de délivrer des agréments aux entreprises de sécurité privée, sous la tutelle du ministère de l'Intérieur.

Un autre policier, son directeur de cabinet au Cnaps, a également été mis en examen notamment pour "atteinte à la liberté et à l'égalité d'accès aux marchés publics, corruption passive par agent public et complicité de détournement de fonds publics", a ajouté la source judiciaire.

Selon une source proche du dossier, Alain Gardère aurait profité d'avantages en nature (restaurants, vacances gratuites ...) en échange de services rendus en 2015, période à laquelle il exerçait au Cnaps.

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Rédigé par PIERRE HAMMADI

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Publié le 22 Janvier 2016

Le préfet Alain Gardère, qui avait été placé en garde à vue mardi 19 janvier, a été mis en examen notamment pour corruption passive. Il a en outre été interdit de tout emploi public.

Cet ancien "grand flic" de 59 ans, qui fut membre du cabinet de Claude Guéant à l'Intérieur, a été mis en examen notamment pour abus d'autorité, prise illégale d'intérêt par personne exerçant une fonction publique, corruption passive par agent public, recel d'abus de biens sociaux et détournement de fonds publics, a détaillé la source.

Placé sous contrôle judiciaire, il s'est vu interdire l'exercice de tout emploi public, et ne pourra pas exercer d'activité dans les secteurs de la sécurité ou des aéroports. Il a aussi dû s'acquitter d'une caution de 150.000 euros.

Alain Gardère avait été placé en garde à vue mardi dans les locaux de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), "la police des polices", dans le cadre d'une information judiciaire ouverte le 23 septembre, notamment pour abus de biens sociaux, trafic d'influence, corruption et prise illégale d'intérêts.

Il avait aussitôt été suspendu de ses fonctions à la tête du Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps), l'instance chargée notamment de délivrer des agréments aux entreprises de sécurité privée, sous la tutelle du ministère de l'Intérieur.

Un autre policier, son directeur de cabinet au Cnaps, a également été mis en examen notamment pour "atteinte à la liberté et à l'égalité d'accès aux marchés publics, corruption passive par agent public et complicité de détournement de fonds publics", a ajouté la source judiciaire.

Selon une source proche du dossier, Alain Gardère aurait profité d'avantages en nature (restaurants, vacances gratuites ...) en échange de services rendus en 2015, période à laquelle il exerçait au Cnaps.

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Rédigé par Pierre HAMMADI

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